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Mnémosyne est co-signataire du courrier adressé par l’Association de recherche sur le genre en éducation et formation (ARGEF) aux ministres  des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, de l’Éducation Nationale de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et à la Secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche.

« La loi de refondation de l’école et de rénovation de la formation des enseignant.e.s et des personnels d’éducation précise que tou.te.s les étudiant.e.s ont droit à une formation aux questions relevant des thématiques interrogées par les études de genre.

A cette occasion, notre association de recherche, ARGEF-France, veut promouvoir 30 années de recherche sur ces thématiques et soutenir des propositions concrètes d’enseignement sur le genre.

L’enjeu est considérable, si nous voulons, comme le demande la loi, que tou.te.s les enseignant.e.s, éducatrices et éducateurs soient formé.e.s. Ces enseignements leur donneront les moyens de répondre aux parents et aux partenaires sur des questions qui parfois ne font pas consensus mais répondent aux inégalités scolaires, sociales, culturelles et s’inscrivent dans les missions de l’école.

Aussi nous attirons votre attention sur les urgences suivantes :

Identifier la réalité des enseignements sur le genre, dans les maquettes de master et leur mise en œuvre

Promouvoir des propositions concrètes pour ces enseignements obligatoires

Assurer la mise en œuvre de ces enseignements dans chaque ÉSPÉ pour chaque mention de master MEEF

Dans une perspective de mise en synergie des différents partenaires et afin de favoriser un aboutissement indispensable, nous sollicitons l’organisation d’une rencontre rassemblant les différents partenaires et interlocuteurs concernés : Représentant.e du Ministère du Droit des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, du Ministère de l’Éducation Nationale de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, du Secrétariat d’État de l’enseignement supérieur et à la recherche, du Département des stratégies des ressources humaines, de la parité et de la lutte contre les discriminations, de la direction des ÉSPÉ, des Universités, des Rectrices et Recteurs d’Académie, du Conseil supérieur des programmes
des Associations de recherche et d’enseignant.e.s.

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La journée « Genre et médias en France : de La Fronde à Causette »

Organisée en collaboration avec ANHIMA, UMR 8210 et en partenariat avec le magazine Causette est en ligne

avec Alice Primi (historienne) : Féminisme et journalisme de La Voix des Femmes à La Fronde.


Mnémosyne, journée d’étude 2014, Genre et… par mnemosyne_asso

Sandrine Levêque (politiste) : Des journalistes professionnelles au service dela cause des femmes ? Le lancement de F Magazine et Histoires d’Elles à la fin des années 1970


Mnémosyne, journée d’étude 2014, Genre et… par mnemosyne_asso

Liliane Roudière (rédactrice en chef) : le Magazine Causette


Liliane Roudière (rédactrice en chef) : le… par mnemosyne_asso

Michèle Dominici (réalisatrice) : Télévision : un féminisme discrètement nécessaire


Michèle Dominici (réalisatrice), Télévision… par mnemosyne_asso

Table ronde animée par Myriam Boussahba-Bravard et Fabrice Virgili

 

Les femmes n’ont représenté que 20 % des intervenant-e-s dans les médias audiovisuels en 2012 selon le CSA. Marginales dans l’espace d’expression, elles le demeurent aussi dans les postes de décision alors qu’elles représentent désormais 43 % des journalistes et 60 % des élèves des écoles de journalisme. Par ailleurs, leur image dans les medias reste, selon le constat dressé par Michèle Reiser et Brigitte Gresy (Réf : Rapports sur l’image des femmes dans les médias 2008 et 2011, http://www.ladocumentationfracaise.fr/rap- ports-pblics/084000614/), fortement stéréotypée. Pourtant, dès l’époque révolutionnaire, et plus encore à partir du XIXe siècle, féminisme et journalisme ont été étroitement liés.

Des femmes se sont emparées des médias pour plaider leur cause et sortir de leurs rôles traditionnels. Les médias ont-ils pour autant servi « la cause des femmes » ? Sont-ils au contraire rétifs à l’égalité entre femmes et hommes ? Après une année au cours de laquelle les débats n’ont pas manqué, mariage pour tous, « théorie du djendeure », prostitution, il nous a paru utile de nous pencher à nouveau sur la question médiatique au sens large en apportant l’éclairage de l’histoire. L’Association pour le développement de l’histoire des femmes et du genre – Mnémosyne consacre donc sa journée d’étude annuelle le 25 janvier 2014 à une double thématique : la participation des femmes à la sphère médiatique depuis le XIXe siècle ; l’appropriation par les médias de la question de l’égalité entre les sexes.

 

 

 

 

 

En novembre 2012 était remis à Madame la ministre de la Recherche et de l’enseignement supérieur rapport coordonné par Alban Jacquemart, Agnès Netter et Françoise Thibault. Issu d’une réflexion des spécialistes des recherches sur le genre (parmi lesquels plusieurs membres de Mnémosyne) , ce rapport propose vingt orientations stratégiques. Objectif : offrir des pistes d’action à moyen et long terme pour donner à la recherche française sur le genre la place qu’elle mérite, tant sur la scène scientifique que dans la société. Manifestement oublié ce rapport mériterait de ressortir des cartons.

Rapport du MESR: Orientations stratégiques pour les recherches sur le genre nov. 2012

ou sur le site du ministère

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid70665/orientations-strategiques-pour-les-recherches-sur-le-genre.html

 

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Prix Mnémosyne 2012, le mémoire de Colette Pipon vient d’être publié aux Presses universitaires de Rennes

Colette Pipon, Et on tuera tous les affreux Le féminisme au risque de la misandrie (1970-1980), Rennes, PUR, février 2014

 

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« Je ne suis pas féministe, parce que je n’en veux pas aux hommes. » Cette réflexion d’une ancienne militante du Planning familial établit un lien évident entre féminisme et haine des hommes. Peut-on faire l’hypothèse d’une misandrie travaillant le Mouvement de libération des femmes en France dans les années 1970 ? À partir de sources variées (presse, tracts, affiches, témoignages écrits et oraux de militantes), cet ouvrage en analyse la présence dans les discours féministes sur l’avortement, le viol, les relations de couple ou encore l’homosexualité.

Préface de Michelle Zancarini-Fournel.

Association pour le développement de l’histoire des femmes et du genre – Mnémosyne, nous œuvrons depuis plusieurs années à proposer une histoire mixte par la recherche, la pédagogie, la diffusion vers tous les publics. Face à l’entreprise de désinformation actuellement en cours contre une supposée « théorie du genre » nous ne pouvons que réagir en réaffirmant les valeurs qui devraient être au fondement de toute société : l’égalité entre toutes et tous et, la liberté de choix pour tous et toutes.

L’appel au boycott de l’école lancé par Farida Beghloul et son collectif ces derniers jours est un modèle de mauvaise foi et de manipulation. Les méthodes sont connues : utilisation abusive de la Déclaration des droits de l’homme, responsabilisation des parents protecteurs de leur progéniture en danger, agitation des angoisses (perte de repères, confusion, désorientation), référence à la « nature » (qui fait si bien les choses), dénonciation d’un complot ourdi par des politiques interventionnistes et des scientifiques/militants dangereux. L’offensive serait loufoque si elle n’était si grave.

Grave car elle dénonce le fait que l’orientation sexuelle ne serait «  au fond qu’une question de choix personnel ! », car elle s’insurge contre la possibilité que les collégiens et les lycéens puissent être « libres d’user de leur corps ». Les anti « théorie du genre » ignorent non seulement qu’il ne s’agit pas d’une théorie (on ne peut pas tout savoir), mais mettent en cause l’énorme progrès que constituent les politiques d’égalité et de lutte contre les stéréotypes actuellement mises en œuvre par les enseignant-e-s sous l’égide du Ministère de l’éducation nationale et de celui des Droits des femmes.

Donner le choix aux enfants, filles et garçons, sans discrimination et dans un souci d’égalité, des jouets qu’ils aiment, des sports qui les épanouissent, du métier qu’ils veulent faire, des vêtements qu’ils aiment porter, des livres qu’ils veulent lire, des personnes qu’ils désirent, tel est l’objectif, actuellement dénoncé par Farida Beghloul et ses acolytes. En accusant le gouvernement et les promoteurs d’une « théorie du genre » « de désorienter, de traumatiser et de déstructurer nos enfants », des parents affolés et les lobbys éclectiques et réactionnaires qui les incitent à retirer leurs enfants de l’école une journée par mois nient tout simplement la formidable avancée que représente la liberté de choisir, en toute connaissance de cause, sa propre vie.

Association professionnelle regroupant enseignant-e-s, chercheurs, étudiant-e-s en histoire des femmes et du genre nous tenons à rappeler que le genre sert tout simplement à décrire comment se construisent les inégalités entre les sexes. L’égalité salariale hommes-femmes, la sexualité, la lutte contre les stéréotypes, la mixité scolaire, ne sont pas « contre nature », et nous continuerons à promouvoir une histoire mixte, un enseignement égalitaire, et la prise en compte du genre. Notre association appelle à soutenir les parents d’élèves et leurs fédérations, les enseignant-e-s et tous ceux et celles qui défendent la liberté, l’égalité et la fraternité.

A l’occasion de l’Assemblée générale de l’association.

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Liste des 29 mémoires admis à concourir pour le prix Mnémosyne 2013 :

Histoire ancienne

1. Marion Briend, « Alcibiade, un effeminé ? »,

M2 Université Paris I-Panthéon Sorbonne, dir. Violaine Sébillotte Cuchet, juin 2013.

Histoire médiévale 

2. Florie Croibier-Muscat, « Place et pouvoir des femmes au sein de l’abbaye Sainte-Marie de Saintes d’après son cartulaire »,

M2 Université Bordeaux III, dir. Isabelle Cartron, 2013.

3. Clémentine Letellier, « La mise en scène du corps féminin dans les fabliaux français : une mise en valeur (xiie– xives.) »,

M2 Université de Caen, dir. Christophe Maneuvrier, 2013.

4. Hugo Dufour, « “Il est homme hardy et subtil et prudent en tous ses faiz”, La masculinité princière au temps de la guerre Armagnacs-Bourguignons »,

M2 Université Paris I, dir. Patrick Boucheron et Jean-Philippe Genet, 2013.

 

Histoire moderne

5. Delphine Froment, « Représentations et interprétations de la condition féminine dans les Indes orientales : Jeminma Kindersley, voyageuse britannique

de la seconde moitié du XVIIIe siècle »,Master 1 ENS Ulm, dir Silvia Sebastini, 2013.

6. Charlotte Fuchs, « Luis Vives et l’éducation de la femme à la Renaissance : essai sur le De Institutione foemina christianea »

Université François Rabelais de Tours,

7. Flavie Leroux, « Madame de Montespan : fortune politique et fortunes familiales d’une favorite royale au xviie siècle »,

Master 2 EHESS, dir. Fanny Cosandey, 2013.

8. Pauline Moszkowski-Ouargli, « La politisation des femmes de Beaumont-du-Périgord pendant la période révolutionnaire (1790-An III).

Femmes libres »,M2 Université de Bordeaux III,  dir. Michel Figeac et Dominique Picco, 2013.

9. Charlotte Moysan, « Meurtre(s) en famille. Réflexions sur la culpabilité à partir des murder pamphlets et des canards français dans la première

moitié du XVIIe siècle »,M2 Université de Nantes, dir. Eric Schnakenbourg, 2013.

9 bis. Ksenia Elovskikh, « La franc-maçonnerie d’adoption : les femmes actrices de la sociabilité »,

M2 Paris Sorbonne, dir Dominique Bourel

Histoire contemporaine

10. Anaïs Bensaad, « La représentation des communardes dans le roman français de 1871 à 1900 »,

Université Paris 8, dir Isabelle Tournier, 2013.

11. Justine Bonno, « Barbie tambien puede eStar triste, La Rabia, Pets : Mise en place de dispositifs post-pornographiques par la réalisatrice

argentine Albertina Carri », Master d’études romanes de l’Université de Toulouse 2,

12. Amélie Corbel, « La femme, le fisc et l’époux – les réformes de l’abattement pour conjoint au Japon »,

M2 du Centre d’études européennes de Sciences po, dir. Pierre Lascoumes, juin 2013.

13. Sophie de Chivré, « Cultiver les précieuses graines de la patrie. Mères, filles et garçons dans le Petit écho de la mode, 1914-1940 »,

M2, Université Paris Diderot – Paris 7, dir Gabrielle Houbre, 2013.

14. Aurore Dufresne, « Les expositions d’artistes femmes en France entre 1975 et 2009 : coulisses d’une histoire de la marginalité »,

M2 histoire de l’art, Université François Rabelais de Tours, dir. Benoît Buquet, 2013.

15. Ilana Eloit, « Du corps objet au corps sujet : performer le féminin dans l’œuvre d’Hannah Wilke »,

Master 1 histoire/histoire de l’art, Université Paris I, dir. Pascal Rousseau, septembre 2012

15bis. Ilana Eloit « Le sujet politique lesbien à Paris : compositions, recompositions et décompositions du sujet féministe (1970-1984) »,

Master 2 de l’Université Paris 8 Vincennes-Saint Denis, dir. Elsa Dorlin, 2013.

17. Manon Gozard, « La place et l’identité des femmes dans le plan agraire chartiste en Grande-Bretagne (1845-1851) »,

Université Paris Sorbonne – Paris IV, direction Fabrice Bensimon, juin 2013.

18. Julie Janin, « Eva Gonzales, étude féministe »,

M2 histoire/histoire de l’art, Université de Franche Comté, dir jean-Loup Korzilius, 2013.

19. Claire Lafon, « Le lobby européen des femmes. Histoire d’une organisation multinationale à la représentativité problématique »,

Master 2 d’histoire Université Sorbonne Nouvelle, dir. Christine Manigand, 2013.

20. Marion Legentil, « Presse, mode et féminisme : Femina et l’émancipation féminine, 1901-1914 »,

M2 Université de Caen, dir. Benoît Marpeau, septembre 2012.

21. Anna Le Pennec, « Affreuses, sales et méchantes. Les femmes en prison au xixe siècle en France »

Université Toulouse II Le Mirail, dir. Sylvie Chaperon, juillet 2013,

22. Lucile Pelletier, « Transgresser l’ordre moral : la figure de la fille séduite à Paris (1880-1918) »,

M2, Université Paris I, dir. Dominique Kalifa

23. Sandrine Pons, « Femmes criminelles à la marge en Haute-Garonne, 1843-1914 »,

M2 dir. Sylvie Chaperon, Université de Toulouse 2, 2013.

24. Camille Richet, « Les ouvrières à domicile du Rhône, de la première à la seconde guerre mondiale. Genre et travail et travail du genre »,

M2 dir. Sylvie Schweitzer, Université Lyon 2, 2013.

25. Fanny Senimon, « Vers la coupe à la garçonne, une histoire de cheveux coupés des années 1900 à 1925 »,

M2 dir. Pascal Ory, Université Paris I, 2013

26. Charlène Voreppe, « La désobéissance civile au féminin. L’engagement féministe de Gisèle Halimi, 1960-1980 »,

M2, Université Pierre Mendès France de Grenoble, dir. Olivier Forlin, 2013.

27. Julie Ricard, « Les “bonnes mères émancipées” du Bolsa Família : évolution de l’incorporation des femmes dans la rhétorique du combat contre la pauvreté (1990-2013) », M2, Septembre 2013, Paris Diderot (VII).

Le prix 2012, remis à Colette Pipon l’an dernier et publié par les Presses Universitaires de Rennes sous le titre Et on tuera tous les affreux. Le féminisme au risque de la misandrie (1970-1980) vient de paraître et sera bientôt disponible.

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Téléchargez le n° 55 de la Lettre de la FIRHF : IFRWH Newsletter Dec 2013

Fédération internationale pour la recherche en histoire des femmes / International Federation for Research in Women’s History

 

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La table  ronde Guerres, femmes et genre : la guerre a-t-elle un sexe ? a été un grand succès, la superbe salle du Conseil Général était bondée ce vendredi. Animée par Louis-Pascal JACQUEMOND (inspecteur d’académie honoraire, inspecteur pédagogique régional) les quatre intervenant-e-s ont répondu pour chaque période à la question de la pertinence des stéréotypes qui font des femmes des victimes et des hommes les principaux acteurs de la guerre, puis sur la pérennité des bouleversements provoqués par la guerre une fois celle-ci terminée. Puis ce fut au tour du public de poser de nombreuses questions.

Vous pouvez écouter  l’intégralité des interventions de cette table ronde co-organisée par le Conseil scientifique des Rendez-vous de l’histoire et notre association.

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avec

Aurélie DAMET, maîtresse de conférences à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, histoire grecque.

Claude GAUVARD, historienne, professeure émérite à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, histoire médiévale.

Véronique GARRIGUES, docteure en histoire à l’université de Toulouse II, histoire moderne.

Fabrice VIRGILI, directeur de recherche au CNRS, histoire contemporaine

 

POUR ALLER PLUS LOIN

Plusieurs chapitres  et dossiers de La Place des femmes dans l’histoire Une histoire mixte portent sur le sujet :

p.20 : Dossiers Masculin et féminin dans l’épopée homérique

un document parmi d’autres : « Réactions des hommes et des femmes à l’annonce de la mort de Patrocle »

p.102 : Dossier, Jeanne d’Arc, histoire et mythes

p.165 : Dossier, La place des femmes dans l’imaginaire politique

un document parmi d’autres : Les femmes et la paix civile : l’exemple de l’enlèvement des Sabines.

p.265 : Chapitre 24, La Grande Guerre

p.311 : Chapitre 28, La Seconde Guerre mondiale

p.321 : Chapitre 29, La France des années noires

p.363 : Dossier, Les Femmes dans la guerre d’Algérie

p. 378 Dossier, Le Viol comme tactique de guerre

 

pour mieux connaitre les intervenants de la table ronde :

Louis-Pascal Jacquemond

 

Aurélie Damet 

Véronique Garrigues

Claude Gauvard

Fabrice Virgili

 

 

 

 

 

 

Merci à Insolente Veggie  d’avoir en quelques dessins expliqué le genre, merci également de nous avoir autorisé à mettre son travail en ligne sur notre site.

Alors à ceux qui ne comprennent toujours pas ce qu’est le Djendeure

 

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Le numéro 11 de la revue Genre et Histoire est en ligne
http://genrehistoire.revues.org/1634

avec au sommaire :

et comme d’habitude les rubriques « Comptes rendus » et « Travaux soutenus »

Bonne lecture et bon été