2012, Histoire des femmes et du genre au Royaume- Uni Revues et sociétés savantes: diffusion, rayonnement, circulation

 

Histoire des femmes et du genre au Royaume- Uni

Revues et sociétés savantes: diffusion, rayonnement, circulation

28 janvier 2012

Vous pouvez écouter et voir l’intégralité de la journée d’étude en cliquant sur les liens suivants

1ère partie : présentation de la journée et intervention de Pr. June Hannam, South West of England University, R. U., pour Women’s History Network Magazine.

1ère partie (suite) :intervention de Pr. Maire Cross, Newcastle University, R.U., pour Women in French

2ème partie : intervention de Pr. June Purvis, Portsmouth University, R.U., pour Women’s History Review (Routledge) et de Pr. Lynn Abrams, Glasgow University, R.U., pour Gender & History (Wiley-Blackwell).

3ème partie : table ronde animée par Gabrielle Houbre et Myriam Boussahba Bravard suivie d’une discussion générale

 

 

Les revues d’histoire des femmes et du genre sont indispensables à la vie intellectuelle et scientifique du champ des études de genre.

L’association Mnémosyne dont l’objectif est de promouvoir l’histoire des femmes et du genre est à l’initiative d’une Journée d’études en partenariat avec l’université Paris Diderot, journée où seront invitées les représentantes de quatre revues publiées au Royaume-Uni:

Pr. June Purvis, Portsmouth University, R.U., pourWomen’s History Review (Routledge). Pr. Lynn Abrams, Glasgow University, R.U., pour Gender & History (Wiley-Blackwell). Pr. June Hannam, South West of England University, R. U., pourWomen’s History Network Magazine. Pr. Maire Cross, Newcastle University, R.U., pour Women in French, groupe de chercheur-e-s sans revue.

Notre intention est de présenter ces revues à un public français, universitaire et non-spécialiste. Nous nous attacherons à dégager les caractéristiques de chacune d’entre elles; certaines étant des revues de sociétés savantes à plus petite diffusion et liées à des réseaux d’universitaires et de chercheur-e-s indépendant-e-s; les autres étant des revues à large diffusion publiées par des éditeurs privés.

Pour chacune revue, on s’interrogera sur le bilan de leur activité, sur leur diffusion, sur leur lectorat, sur la prise en compte des générations d’auteur-e-s et de lecteurs-trices, sur leurs choix intellectuels, leur rayonnement au-delà du Royaume-Uni et leurs objectifs immédiats et à moyen terme dans un paysage éditorial en mutation notamment par l’utilisation du numérique.

La question de la langue d’écriture/de conception sera posée au plan de la sélection des articles et des thématiques. Y-a-t-il des moyens affectés à la traduction? Est-ce un objectif? Y-a-t-il une volonté de couvrir des aires culturelles variées? Qu’en est-il de l’évolution des principales thématiques abordées?