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Emilie Druihle est invitée pour parler de Farouche Atalante, son master couronné par le Prix Mnémosyne 2014, à La Fabrique de l’Histoire sur France Culture,

en podcast :http://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire#

vendredi 23 septembre 2016, vers 9h45

http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=4204#

Emilie Druihle

Farouche Atalante

Portrait d’une héroïne grecque

En donnant à voir l’ensemble de la production antique sur la figure d’Atalante, ce livre déploie la richesse d’un imaginaire qui défie la binarité de l’opposition masculin/féminin. La société grecque pouvait déjà penser une pluralité de féminités, et même de masculinités, les variations s’accordant avec les caractéristiques sociales de l’individu – jeune ou adulte, dieu, héros ou bien individu ordinaire –, mais également avec le contexte de ses représentations – politique, familial, mythologique ?

Le Lab de l’enseignant et du chercheur.

Un atelier pédagogique animé par des membres de Mnémosyne

vendredi 7 octobre, 15h – 16h30

à l’ESPÉ Centre Val de Loire , 9, avenue Paul Renaulme, 41000 Blois

Intervenants :

Louis-Pascal JACQUEMOND

Historien, Inspecteur d’Académie (h), Enseignant
Sciences PO Paris

Cécile BEGHIN

Professeure agrégée
Lycée Jean Jaurès (Montreuil)

Véronique GARRIGUES

Professeure, docteure en Histoire
Collège Louis Pasteur

Irène JAMI

Professeure agrégée
Lycée Janson de Sailly (Paris)
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Vendredi 7 octobre 2016, 11h15 – 12h45 Château royal de Blois, Salle Gaston d’Orléans

Volontairement ou sous la contrainte, les femmes vivent l’expérience du départ depuis les temps les plus anciens. Explorer le « genre » du départ, c’est mieux comprendre la redéfinition des hiérarchies entre hommes et femmes que celui-ci provoque.

Table ronde organisée par Mnémosyne  et les Rendez-Vous de Blois

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Analyser quelle est la place des femmes dans les mobilités du passé, dégager quels sont les enjeux et les rapports de genre dans les déplacements et mouvements migratoires : tels sont les objectifs de cette table ronde.

Plusieurs perspectives cohabitent. Dans certains cas de mobilités, la différence des sexes joue un rôle parce qu’elle assigne une hiérarchie, des rôles, des pouvoirs voire des droits. Mais les déplacements entraînent aussi des modifications, qui concernent tant les formes et les lieux de départ que les comportements et le destin des individus, hommes ou femmes, en déplacement. Enfin ces mobilités peuvent remettre en question les relations hommes-femmes et bouleverser la répartition sexuée des rôles sociaux, économiques et politiques.

Il s’agira donc de ne pas se limiter à décrire ces mobilités mais bien de montrer ce qu’elles provoquent, bouleversent et créent. En invitant des historien.ne.s travaillant sur les quatre grandes périodes, il s’agit de mettre en scène pour chacune d’entre elles un moment ou une situation qui permet de comprendre en quoi le genre est une composante du départ.

Table ronde animée par Pascale Barthélémy (Mnémosyne) avec :

–       En Histoire ancienne : Cécilia D’Ercole (Directrice d’études, EHESS) : Les femmes dans la colonisation grecque antique sur le pourtour méditerranéen

–       En Histoire médiévale : Didier Lett (Professeur, Université Paris Diderot) : Femmes et hommes sur le départ : partir pour travailler, se marier, voyager et mourir (XIIe-XVe siècle)

–       En Histoire moderne : François-Xavier Fauvelle-Aymard (Directeur de recherche au CNRS) : Le genre des traites esclavagistes

–       En Histoire contemporaine : Delphine Diaz (MCF Université de Reims Champagne-Ardenne) : Le départ en exil au cours du premier XIXe siècle en Europe. La place des femmes et la recomposition des rapports de genre dans l’exil.

Le nouveau n° de Genre & Histoire est en ligne
17 | Printemps 2016

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Proposé par le groupe « Genre et classes populaires1 », ce dossier de Genre & Histoire s’intéresse à la construction mutuelle des rapports de genre et de classe in situ, c’est-à-dire dans les lieux précis où ils sont produits, négociés, contestés. Cette articulation, appliquée aux classes populaires en France du XVIIIe au XXe siècle, constitue l’objet de réflexion et d’investigation central du séminaire que le groupe organise depuis 2011 à l’Université Paris I-Panthéon-Sorbonne. Les cinq contributions réunies ici sont issues de présentations faites dans le cadre du séminaire entre 2012 et 2014, elles ont pour ambition commune de soumettre le lieu à l’épreuve du genre et des classes populaires.

Sous la direction de Anaïs Albert, Fanny Gallot, Katie Jarvis, Anne Jusseaume, Ève Meuret-Campfort, Clyde Plumauzille et Mathilde Rossigneux-Méheust

 

CLIO 43 / Citoyennetés

Responsables du numéro
Pascale Barthélémy & Violaine Sebillotte Cuchet

Clio 43

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les femmes ont-elles attendu le XXe siècle pour être
considérées et agir comme des citoyennes ? L’accès à la
citoyenneté a-t-il toujours été déterminé par les rapports de
domination entre les sexes ? Ce numéro de Clio interroge le
concept de citoyenneté à la lumière de l’histoire des
femmes et du genre qui a permis depuis longtemps d’en
redéfinir le vocabulaire et les contours. Depuis l’Antiquité
classique jusqu’à l’Algérie, le Nigéria ou le Mexique
contemporains en passant par l’Italie médiévale et moderne
ou la France du XVIIIe siècle, les expériences de la
citoyenneté – qui s’exercent à des échelles variées (celle de
la cité, de la commune, de l’État ou des instances
internationales) – se révèlent bien plus riches que le seul
exercice des droits politiques. Les pratiques décrivant la
citoyenneté ne sont donc pas seulement du ressort du droit
ou de son affirmation mais résultent de rapports sociaux
plus complexes où les inégalités de genre croisent les
inégalités économiques et culturelles. Ce numéro propose
ainsi une mise en lumière de la diversité des niveaux de
participation à la chose politique et conduit à une
historicisation salutaire de la citoyenneté contemporaine.

Le Front populaire est une « embellie » porteuse de congés payés, de mixité, de démocratisation des loisirs et de diminution du temps de travail. Les femmes y tiennent une place inédite, au sein du gouvernement, dans les grèves ouvrières, les occupations d’usines mais aussi sur la route des vacances et dans les auberges de jeunesse. Un vent de liberté semble souffler sur leur histoire.
Pour la première fois, Léon Blum nomme des femmes sous-secrétaires d’État, alors même qu’elles n’ont pas acquis les droits de vote et d’éligibilité. Ces droits, le Front populaire ne les leur accordera pas. Les conventions collectives comme les accords salariaux entérinent les inégalités entre hommes et femmes, favorisant seulement les droits liés à la maternité et à la famille. Malgré des promotions par l’enseignement ou le barreau et la suppression de l’incapacité juridique des épouses, la déception des féministes est grande.
Louis-Pascal Jacquemond dresse un panorama vivant des femmes de toutes conditions sous le Front populaire. Il montre un bilan immédiat mitigé mais aussi, et surtout, l’apparition d’une nouvelle génération dont l’engagement se prolongera, quelques années plus tard, dans la Résistance.

front pop

 

 

 

 

 

 

 

Louis-Pascal Jacquemond, Belin, 2016.

http://www.editions-belin.com/ewb_pages/f/fiche-article-l-espoir-brise-27848.php

 

 

« Vingt-cinq ans après, Vent’anni dopo »

Les femmes au rendez-vous de l’histoire, hier et aujourd’hui

Rome, École française de Rome, 12-14 mai 2016

Colloque international à l’occasion du XXVe anniversaire de la publication de L’Histoire des femmes en Occident, dirigée par Georges Duby et Michelle Perrot et du XXe anniversaire de la publication de la Storia delle donne in Italia

École française de Rome – Società Italiana delle Storiche

Università di Padova, Université Paris Diderot-ICT, Université de Rouen Normandie-GRHis

avec le soutien de Institut Universitaire de France, Université Franco-Italienne, PluriGenre/IHP/Paris Diderot

sous le patronage de Giunta centrale per gli studi storici


Jeudi 12 mai : 15h00-19h00

Catherine Virlouvet, Directrice de l’École française de Rome

Andrea Giardina, Président de la Giunta centrale per gli studi storici

Isabelle Chabot, Présidente de la Società Italiana delle Storiche

Keynote address: Michelle Perrot, Les femmes ont une histoire

 

Table ronde (1) : “Vingt-cinq ans après”

Présidence : Catherine Virlouvet, Directrice de l’École française de Rome

Les directrices des volumes de L’histoire des femmes en Occident (Laterza 1990 et Plon 1991): Christiane Klapisch-Zuber, Michelle Perrot, Pauline Schmitt-Pantel, Françoise Thébaud

Les directrices des volumes de la Storia delle donne in Italia (Laterza 1994-96) :

Marina D’Amelia, Michela De Giorgio, Angela Groppi, Lucetta Scaraffia, Gabriella Zarri

Les maisons d’édition: Giuseppe Laterza (Editori Laterza), Cecilia Palombelli (Editrice Viella)

 

Vendredi 13 mai : 9h00 – 13h00

Table ronde (2) : Europe, Monde

Présidence: Giulia Calvi (Università di Siena-IUE)

Elena Borghi (IUE) La storia delle donne e di genere in India. Fra accademia e militanza

Odile Goerg (Université Paris Diderot-CESSMA), Afrique : quelle histoire pour quelles femmes ?

Szofia Lorand (IUE), Intellectuals, Activists, groups and movements. Writing the history of feminisms in East Central Europe

Paola Paderni (Università di Napoli-L’Orientale), Engendering China: il genere come categoria d’analisi nella storiografia sulla Cina negli ultimi venticinque anni

Anna Vanzan (Università di Milano), Women, gender and sexuality in the historiography of the Middle East and North Africa (MENA)

 

Table ronde (3) : Circulations, Métissages

Présidence: Manuela Martini (Université Paris Diderot-ICT)

Joselyne Dakhlia (EHESS-CRH), Mobilités féminines dans la Méditerranée de l’époque moderne: une perspective historiographique récente

Silvia Salvatici (Università di Milano), Il genere, la storia e i refugee studies

Raffaella Sarti (Università di Urbino), Di casa in casa. Circolazione del personale domestico in un’ottica di genere

Nancy Green (EHESS-CRH), Femmes, genre, migrations. Historiographies en mouvement

 

Vendredi 13 mai: 15h00 – 19h00

Table ronde (4) : Droits, Politiques

Présidence: Isabelle Chabot (SIS)

Violaine Sebillotte-Cuchet (Université Paris1 Panthéon Sorbonne-ANHIMA), Femmes et droits politiques en Grèce ancienne: le risque de l’anachronisme

Simona Feci (Università di Palermo), Se il diritto costruisce la storia delle donne

Raffaella Baritono (Università di Bologna), Genere, sfera pubblica, diritti. Il caso statunitense

Maria Rosaria Stabili (Università di Roma Tre), Democracia en el país y en la casa”. Donne e dittature nel Cono sud americano. Il caso cileno

 

Table ronde (5)  : Identités, Familles, Masculinités

Présidence: Enrica Asquer (SIS)

Sylvie Joye (Université de Reims-Champagne Ardenne-CERHIC), La patriapotestas dal tardo antico all’alto medioevo

Sylvie Steinberg (EHESS-CRH), Les frontières des identités sexuées en questions (époque moderne)

Domenico Rizzo (Università di Napoli-L’Orientale),La storia della maschilità e le sue insidie

Nadia M. Filippini (SIS), Corpo e maternità: sfaccettature e traiettorie della storiografia europea

 

Samedi 14 mai: 9h00 – 13h00

Table ronde (6) : Sociétés, Economies

Présidence: Anna Bellavitis (Université de Rouen Normandie- GRHis/IUF)

Ida Fazio(Università di Palermo), Le risorse economiche delle donne: uno sguardo dall’Italia

Carmen Sarasua (Universitat Autònoma de Barcelona), Beyond women’s history. Women’s place in Spanish history, 1982-2015

Alexandra Shepard (University of Glasgow), « Active agents » and « history makers”: women in the early modern economy

Elise van Nederveen Meerkerk (Wageningen University), Gender and Empire. Postcolonial perspectives on women and gender in the ‘West’ and the ‘East’, 17th-20th centuries.

 

Table ronde (7) : Culture matérielle

Présidence: M. Cristina La Rocca (Università di Padova)

Irene Barbiera (Università di Padova), Material culture, gender and the life course in early medieval Europe

Renata Ago (Sapienza-Università di Roma): Spazi domestici e spazi urbani: anche lo spazio è questione di genere

Jane Hamlett (Royal Holloway, University of London): Gender and material culture in modern Britain and beyond.

Table ronde conclusive

Présidence : Anna Scattigno (Università di Firenze)

Enrica Asquer, Anna Bellavitis, Giulia Calvi, Isabelle Chabot, Maria Cristina La Rocca, Manuela Martini

 

Comité d’organisation :

Enrica Asquer (Società Italiana delle Storiche)

Anna Bellavitis (Université de Rouen Normandie- GRHis/Institut Universitaire de France)

Giulia Calvi (Università di Siena/Institut Universitaire Européen)

Isabelle Chabot (Società Italiana delle Storiche)

Fabrice Jesné (Ecole Française de Rome)

Maria Cristina La Rocca (Università di Padova)

Manuela Martini (Université Paris Diderot/ICT)

 

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Manières d’apprendre

Le genre des apprentissages : contraintes et contournements

(Antiquité – époque contemporaine)

Coordination

Ulrike Krampl (Tours), Dominique Picco (Bordeaux-Montaigne), Marianne Thivend (Lyon 2)

Argumentaire

L’éducation constitue pour l’histoire du genre un objet d’étude stratégique puisque l’accès aux savoirs formalisés et leur validation institutionnelle agissent comme des facteurs majeurs de différenciation sociale et de genre ; tenter d’y introduire davantage d’égalité inspire jusqu’à nos jours des réticences très vives. Cependant, l’école proprement dite n’a concerné, jusqu’au XIXe siècle, qu’une minorité essentiellement masculine de la population européenne, et les inégalités d’accès à l’éducation scolaire, notamment secondaire, technique et supérieure, sont restées fortes pendant une bonne partie du XXe siècle ; en témoignent la composition des effectifs d’élèves et d’enseignant.es, les programmes ou encore les politiques éducatives qui constituent des objets privilégiés de la recherche récente en histoire de l’éducation. Si l’école joue aujourd’hui un rôle crucial, l’éducation ne se réduit guère au cadre scolaire mais comprend, au sein d’un même parcours de vie, différents modes et lieux d’apprentissage qui peuvent alterner ou se mêler, qu’ils soient mixtes ou non, publics ou domestiques, institutionnalisés ou informels, intégrés ou, au contraire, distincts de la socialisation et de l’initiation professionnelle. Tenir compte de cette dimension composite de l’éducation invite non seulement à étudier au même titre garçons et filles, y compris lorsque la socialisation et l’organisation scolaire les séparent, mais aussi à appréhender un ensemble plus large de facteurs qui façonnent le genre des apprentissages.

Se situant à la croisée de l’histoire de l’éducation, de l’enseignement et de la formation, aussi bien que de l’histoire de l’enfance et de la jeunesse et plus largement de la socialisation, ce dossier thématique de Genre & Histoire propose de s’affranchir du cadre scolaire et de s’intéresser aux multiples manières d’apprendre que mettaient en œuvre les femmes et les hommes du passé – et ce à tous les âges. Nous souhaitons en effet saisir la diversité des traductions concrètes, et parfois discontinues, des parcours d’apprentissage qui constituent des ressorts essentiels de la fabrique du genre qui, du coup, font du genre une catégorie évolutive. Car les identités sexuées et socio-culturelles se construisent à travers l’acquisition des savoirs et savoir-faire, dont les lieux et les objets, les méthodes et les finalités sont eux-mêmes marqués par une série de hiérarchies socio-culturelles. En choisissant le verbe « apprendre », nous souhaitons d’emblée mettre l’accent sur les pratiques de celles et ceux qui acquièrent les savoirs et savoir-faire. Par ailleurs, privilégier les apprentissages amène à élargir le regard et à interroger à la fois les approches institutionnelles ou scolaires et les pratiques informelles et occasionnelles, autodidactes et collectives, souvent difficiles à saisir mais d’une importance capitale notamment pour celles et ceux qui se trouvent en situations d’exclusion des savoirs formalisés ; situations dont il importera de préciser la configuration (normes religieuses, domination coloniale, société d’ordres et/ou esclavagiste, violences économiques, etc.), en tenant compte, dans une perspective d’intersectionnalité, de l’ensemble des facteurs qui structurent le social. Ce parti pris invite enfin à étudier les rapports qu’entretenaient entre eux, selon les moments et les lieux, les époques et les cultures, les différents modes d’apprentissage pour former des parcours-type ou au contraire celui de chemins singuliers.

Les thématiques suivantes pourraient être abordées :

– Objets

* s’approprier des savoirs et savoir-faire associés à l’« autre » sexe (latin, théologie, histoire, géographie, sciences, langues, couture, prendre soin de l’autre, etc.)

* corps, âme, esprit ; pratiques physiques, spirituelles, intellectuelles ; travail manuel/travail intellectuel ; expérience affective

* instruction religieuse et apprentissages

– Lieux et parcours

* quels lieux pour quelles pratiques et pour quel sexe : famille, atelier, comptoir, école, lieux religieux, voyage, promenade, sortie scolaire, colonie de vacances, bibliothèque, syndicats, partis politiques, lieux de sociabilité, etc.

* parcours d’apprentissage : pluralité et coexistence (parfois conflictuelle) des pratiques d’acquisition scolaires et parascolaires, autodidaxie, expérience pratique, choix confessionnels, etc.

* manières d’apprendre et mobilités géographiques : de l’échange d’enfants à Erasmus

– Economie et apprentissages

* le coût différencié des apprentissages

* économie familiale et transmission des savoirs et savoir-faire

* apprendre en temps de crise (guerre, crise économique, déplacements forcés, mouvements armés, clandestinités, etc.)

– Médias et médiations

* par quel.les médiateur.rices passe la transmission et la scolarisation des savoirs et savoir-faire ? Outre les enseignant.es et éducateur.rices, qu’en est-il des acteur.rices religieux.ses ou spritituel.les, de la famille (pères, mères, frères, sœurs, oncles, tantes, grands-parents, etc.), des maître.sses particulier.ères et domestiques, des collègues de travail, camarades de jeu et voisin.es, des organisations politiques, etc. ?

* médias et autonomie d’apprentissage : écrit/oral, usages de l’imprimé, de l’image, internet, médias sociaux, etc.

* pratiques solitaires, pratiques collectives, pratiques en réseaux et connectées

* quelles pratiques pour apprendre : observer, jouer, réciter, imaginer, répéter, danser, écouter, dessiner, bachoter, toucher, manipuler, imiter, chanter, construire, sentir, prier, faire du sport, recopier, rêver, apprendre par cœur, inventer,…

Langues

Genre & Histoire publie des articles en français, anglais, allemand, italien et espagnol.

Les propositions (2000 signes, bref CV, liste des publications relevant de la thématique) peuvent porter sur toutes les périodes historiques, tous pays ou aires culturelles, en adoptant une approche comparée/croisée ou non, et sont à adresser à

contact@genrehistoire.fr

jusqu’au 6 juin 2016.

 

Procédure

L’acception des textes se fait en deux temps : après une sélection des propositions par le comité de rédaction de Genre & Histoire, l’acceptation définitive dépendra de deux avis de lecture anonymes.

 

Calendrier indicatif

– Acceptation de la proposition de contribution : début juillet 2016

– Remise des articles (35-40000 signes, notes et espaces compris) : 31 décembre 2015

– Réponse définitive suite à une double expertise anonyme : 15 mars 2017

– Remise de la version finale : 15 juin 2017

– Parution du numéro : automne 2017

La journée d’étude 2016 de Mnémosyne organisée en commun avec l’Association Transdisciplinaire pour les Recherches Historiques sur l’éducation (ATRHE), et le MAGE (Marché du travail et genre) en partenariat avec 50/50 le magazine de l’égalite Femmes/Hommes. a eu lieu ce samedi 23 janvier.

La journée est désormais en ligne sur la chaîne Mnémosyne de dailymotion

Vidéo © Luc Riff

Morale et civisme à l’école : un apprentissage sexué ?

  • Sophie Lalanne, Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne : L’invention de l’éducation : valeurs civiques et définition des rôles sexués dans la cité grecque
  • Caroline Fayolle, Université de Rennes II : Les catéchismes républicains à l’épreuve du genre (1792-1794)
  • Frédéric Mole, Université de Saint-Étienne / Archives Institut JJ Rousseau (Université de Genève) : De la coéducation au pacifisme : une vision sexuée de l’éducation morale ? (années 1900-1920)

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Les enseignements scolaires et universitaires sous l’angle du genre 

Table ronde animée par Florence Rochefort, Institut Émilie du Châtelet, avec :

  • Louis-Pascal Jacquemond, Mnémosyne : La réforme des programmes d’histoire dans le secondaire : blocages et perspectives ?
  • Nathalie Lapeyre, MAGE : Actualités et enjeux de l’institutionnalisation des études sur le genre dans l’enseignement supérieur
  • Rebecca Rogers, ATRHE : Mixité et égalité dans l’enseignement primaire : Perspectives historiques sur les ABCD de l’égalité

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Un suivi de recrutements en histoire sur le site de d’AFHE vise à rassembler en un lieu facile d’accès toutes les informations relatives aux recrutements de maîtres de conférences et professeurs en histoire (sections 21 et 22 du CNU) pour la session synchronisée 2016 et les postes « au fil de l’eau » apparaissant le reste de l’année. Elle est participative (d’où son surnom de « wiki auditions en histoire »), et tout le monde peut faire parvenir des informations qui y seront ajoutées.

Ce suivi des recrutements, organisé pour la cinquième année, reçoit le soutien de nombreuses associations professionnelles d’historiens dont Mnémosyne.

http://afhe.hypotheses.org/suivi-des-recrutements